« Covidé » mais debout ! 

19 septembre 2022 | NEWS

Il était… deux fois une pandémie et son impact sur toutes les activités humaines. Dans quelques années, lorsque la génération qui a vécu et vaincu le COVID racontera cette saga au coin du feu, elle aura toutes les caractéristiques d’un film d’horreur. Depuis un peu plus d’un an, la planète entière vit un véritable thriller et nul doute que les « rescapés » de cette tragédie seront incontestablement plus forts qu’avant.

« Covidé » mais debout !

Car le propre des crises est de créer des changements, des mutations, des innovations qui permettent d’évoluer et d’avancer. Comme dit l’adage: à quelque chose malheur est bon. En tout cas tel est l’état d’esprit du top management et de tout le staff du Palais des Congrès alors que pour la deuxième année consécutive, il faut s’adapter aux conséquences fâcheuses du covid-19.

Bien avant l’irruption de la pandémie, la situation du Palais des Congrès n’était guère reluisante. Certes en termes de prestige, de renommée et de notoriété, le monument de Nkolnyada n’a pas beaucoup de concurrents. Ces atouts sont d’ailleurs renforcés et soulignés  à grands traits par toutes ces institutions qui se bousculent à son portillon: la CONAC, le SENAT, le Conseil Constitutionnel, l’Assemblée nationale aujourd’hui; hier le Comité  central du RDPC qui y avait séjourné de 1982 à 2017, excusez du peu!

Que du beau monde et une plus-value certaine en termes de respectabilité et de crédibilité tant au plan national qu’à l’international. Seulement voilà: si ce bel assemblage rend le plumage de l’édifice de Nkolnyada plus beau et plus alléchant, il n’apporte pas davantage de fromage ou de beurre dans les épinards. Au contraire, il faut gérer de nouvelles contraintes puisque chaque « locataire » a ses exigences et sa spécificité. La situation financière du Palais des congrès reste donc malgré tout préoccupante et l’Etat doit consentir d’énormes sacrifices pour assurer son fonctionnement au quotidien.

« Covidé » mais debout !

C’est dans ce contexte que le covid-19 nous est tombé dessus comme la foudre qui descend du ciel. Heureusement, la réhabilitation était achevée et le contrat plan tirait vers sa fin. Ces deux opportunités ont permis d’encaisser le choc de la pandémie et d’en absorber les secousses les plus fortes. Pour autant, le Palais est secoué mais tel le roseau, il plie mais ne rompt pas. Depuis 2020, le nombre de manifestations a baissé de plus de la moitié. Les recettes ont suivi la même tendance baissière. Toutefois, le personnel, le Conseil d’administration, la Direction générale, font preuve de résilience, d’imagination et d’inventivité pour garder le cap.

Le présent numéro de PACY NEWS en est une illustration supplémentaire. À travers les articles que nous vous invitons à lire, vous découvrirez comment le Palais des Congrès résiste au COVID et continue malgré tout d’assurer ses missions avec brio et efficacité.

« Covidé » mais debout !

C’est le lieu et l’occasion pour moi d’exprimer ma gratitude à mes collaborateurs et à  l’ensemble du personnel, à notre régisseur ACCENT MEDIA, aux partenaires qui nous ont fait confiance à travers leurs insertions publicitaires, à la Présidente et aux membres du Conseil d’Administration, au Ministre des Arts et de la Culture ainsi qu’à son collègue des Finances,

« Covidé » mais debout !
Christophe MIEN ZOK, Directeur Général du Palais des Congrès

respectivement tutelles technique et financière. Je vous souhaite une agréable lecture de ce magazine dont la périodicité devrait désormais être plus régulière. Nous en prenons l’engagement tout comme nous réitérons notre détermination à mettre notre savoir-faire et notre professionnalisme en jeu pour continuer à vous offrir des services de très grande qualité chaque fois que vous organiserez une manifestation sur les hauteurs du Mont Nkolnyada.

Par Christophe MIEN ZOK, Directeur Général du Palais des Congrès

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